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L’email marketing n’est pas mort vous le faites juste mal (voici comment cartonner)

Stop aux newsletters soporifiques : écrivez comme à un ami, pas comme à un robot

Traitez votre liste comme un groupe d'amis, pas comme une cible froide. Pensez aux conversations spontanées : une petite anecdote, une remarque honnête, et une astuce utile. Quand votre message sent la personne et non la machine, la curiosité remplace l'ennui — et la curiosité ouvre des clics.

Trois règles simples pour écrire comme un ami :

  • 🆓 Intro: Commencez par une anecdote courte ou une observation relatable.
  • 💥 Ton: Utilisez le tutoiement, des phrases courtes et une touche d'humour.
  • 🚀 Action: Proposez un micro-pas clair : tester, répondre, cliquer — facile à faire.

Structurez chaque email comme une mini‑conversation : accroche, deux phrases qui apportent de la valeur, une question ouverte, puis une action simple. Soignez le preview text : c'est souvent la deuxième accroche que voit le lecteur. Et coupez les paragraphes : écran rime avec lecture en diagonale.

Quelques formules qui convertissent : ouvre par « petite astuce pour... » ou « tu ne devineras jamais... », et ferme par « réponds‑moi si tu veux que je t'aide » ou « clique si tu veux voir ça en vrai ». Ces phrases transforment une promo en échange humain.

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Des objets qui claquent en 8 mots max : la recette anti-poubelle

Huit mots, pas plus — et non, ce n'est pas une contrainte sadique, c'est le raccourci vers l'ouverture. Sur mobile, la ligne d'objet doit être éclairante en un coup d'œil : une promesse + une émotion = curiosité déclenchée. La preview text doit compléter l'objet, pas le répéter. Chaque mot économisé augmente la probabilité d'ouverture.

Commencez par le bénéfice : dites ce que le lecteur gagne. Exemple : Doublez vos ouvertures en 7 jours. Court, clair, orienté résultat. Autre formule : «Décrochez 5 clients ce mois» — concise et spécifique. Remplacez «vous» par le segment quand possible pour gagner en pertinence.

Chiffres & urgence : les nombres coupent à travers le bruit. «3 astuces pour vendre aujourd'hui» ou «Offre 48h : -30%» respectent la règle des 8 mots et poussent à cliquer. La personnalisation (prénom, ville) accentue l'impact sans alourdir si vous restez synthétique. Évitez le clickbait creux.

Verbes d'action : commencez par un verbe fort pour inviter à agir — «Téléchargez», «Réussissez», «Obtenez». L'active voice réduit les mots morts et rend l'objet plus percutant. Sur mobile gardez 40–50 caractères visibles : chaque mot compte. Un emoji bien placé peut remplacer un mot.

Testez vite : écrivez 6 objets sous 8 mots, testez A/B deux variantes sur 200 abonnés, gardez la gagnante si elle augmente le CTR. Si l'écart est faible, testez une autre hypothèse (bénéfice vs urgence). Répéter = apprentissage ; ne laissez pas l'intuition seule décider.

Passer de «ça passe» à «ça claque» prend 10 minutes : trois formules (bénéfice / chiffre / verbe), un A/B, et l'habitude. Écris-les maintenant, choisis, envoie à 10h quand vos opens sont les plus hauts — et regardez la poubelle se vider. Ajoutez un suivi personnalisé selon l'ouverture pour maximiser la conversion. Vous verrez la différence.

Segmentez ou spammez : choisissez votre camp

Arrêtez d'envoyer la même promo aux 10 000 contacts comme si c'était une pluie de flyers: la plupart irrite, quelques-uns convertissent. La segmentation, ce n'est pas un luxe, c'est votre filtre anti-spam et votre moteur de conversion. En séparant selon le comportement et les goûts vous passez du mass-mailing à la conversation pertinente. Pensez matchmaking: message pertinent = ouverture ; ouverture = opportunité.

Commencez simple: 3 segments suffisent pour démarrer — nouveaux abonnés, clients récents, inactifs. Ajoutez des règles basées sur l'activité (ouverture, clic), la valeur (montant dépensé) et la préférence produit. Utilisez des tags dynamiques pour personnaliser l'objet et le préheader: 30% off pour les fans running ne parlera qu'aux coureurs. Automatisez l'entrée/sortie des segments pour que votre liste reste vivante.

Ne négligez pas la cadence : mieux vaut envoyer moins et bien que bombarder. Testez l'heure, l'objet, et la longueur avec des A/B tests petits mais constants. Mesurez le taux d'ouverture, le CTR et surtout le taux de conversion — et surveillez le taux de désinscription comme signal d'alarme. Pour les inactifs, envoyez une série de réengagement à étapes et si rien ne bouge, préférez la suppression élégante à l'enfermement dans la boîte spam.

Si vous voulez un seul conseil actionnable maintenant : segmentez avant d'écrire. Rédigez pour une personne réelle dans un segment précis, pas pour une masse floue. Résultat ? Meilleures ouvertures, clics plus qualifiés et une liste plus propre. Et si vous aimez l'effet rocket, combinez segmentation + automatisations : vos campagnes feront le boulot pendant que vous buvez un café (ou deux).

Timing, cadence, rituel : le rythme qui fait grimper les taux

Arrêtez de bombarder ou de n'envoyer qu'une newsletter par mois en esperant un miracle. Le bon rythme respecte le temps de votre audience et installe une attente, pas une nuisance. Faites de l'envoi un rituel reconnaissable: objet familier, format repere et petite surprise qui donne envie d'ouvrir. La constance construit la confiance; l'incoherence la detruit.

Commencez par tester les fenetres d'ouverture: matin clair, pause dejeuner, fin d'apres-midi ou soir selon votre cible et fuseau horaire. Segmentez par comportement (ouvreurs, clickeurs, acheteurs) et adaptez la cadence: frequent pour les fans, rare pour les sirenes curieuses. Automatisez des fenetres basees sur l'engagement et laissez les KPI decider quand pousser ou calmer le rythme.

Voici trois rituels simples a tester immediatement:

  • 🚀 Onboarding: 3 mails en 7 jours, chaque message avec une seule promesse et un CTA unique pour convertir la curiosite en habitude.
  • 🐢 Cadence: hebdomadaire ou bi-hebdomadaire selon l'engagement ; respectez la frequence declenchee par l'ouverture, pas par votre calendrier interne.
  • 🔥 Re-engagement: sequence de 4 mails sur 30 jours, mix contenu+offre+preuve sociale, puis une ultime decision claire (rester/supprimer).

Measurez tout: taux d'ouverture, clics, desinscriptions et conversions. Si une frequence fait monter les ouvertures mais pas les conversions, changez la promesse, pas seulement le jour. A/B testez objet, heure, longueur et recuperation post-desinscription. En bref: construisez votre tempo par micro-experiences, et souvenez-vous qu'un bon email, c'est celui qui arrive au bon moment avec la bonne attente—et parfois un emoji imprévu pour faire sourire.

De l’ouverture au clic puis à la vente : tracez, testez, optimisez

Ne confondez pas ouverture et victoire: une ouverture, c'est une porte entrouverte; il faut la pousser. Mesurez les opens, oui, mais reliez-les aux clics et aux ventes via UTM, pixels et événements côté serveur. Mappez le parcours: sujet → preheader → CTA → page produit → checkout.

Testez sans pitié. A/B testez 2 objets, 3 préheaders, 2 CTA, heures d'envoi. Segmentez vos listes par comportement (ouvertures récentes, clics, clients inactifs). Gardez une taille d'échantillon, calculez un seuil statistique et ne changez pas 10 paramètres à la fois. Un test propre = apprentissage exploitable.

Optimisez avec des micro-expériences: remplacez un seul mot dans le CTA, changez la couleur du bouton, testez l'orientation du CTA (texte vs image). Analysez le taux de clics, le temps passé sur la page et surtout le taux de conversion post-click: c'est là que l'argent se gagne. Automatisez les relances pour les clics sans achat et personnalisez l'objet selon le comportement.

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28 October 2025