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L’email marketing n’est pas mort (vous le faites juste mal) — voici comment le relancer

Des objets qui donnent envie d’ouvrir : 7 formules anti-poubelle

Oubliez les objets usine-à-spam: un bon objet est une promesse claire + une pincée de curiosité. Si la boîte de réception devait élire un président, l'objet serait la poignée de mains qui décide du vote. Concret: dites ce que le lecteur gagne en 3 mots et laissez un mystère à résoudre.

Formules testées sur des listes petites et grandes: personnalisation (Prénom + bénéfice), urgence douce (Offre valable 48h), preuve sociale (X personnes ont lu), chiffre précis (5 astuces), question intrigante (Vous faites encore ça ?). Règle d'or: évitez les mots hyper-spam comme 'gratuit' répétés, les symboles abusifs et les MAJUSCULES sans sens.

Voici 7 modèles rapides à adapter: 1) {Prénom}, 2 minutes pour... 2) Ils ont économisé €X — découvrez comment 3) Seulement 24h: votre accès à... 4) La technique que {secteur} ignore 5) Besoin d'un coup de pouce pour {objectif} ? 6) Ce que vous râtez tous les matins 7) Testez ceci en 5 minutes. Remplacez, raccourcissez et adaptez le ton à votre audience: 40–50 caractères = idéal pour mobile.

Si vous voulez des exemples testés sur Instagram, Facebook ou YouTube, regardez nos ressources: Boostez votre compte Instagram gratuitement. Un seul split-test bien conçu peut multiplier vos taux d'ouverture.

Checklist express avant envoi: objet ≤ 50 char, verbe d'action, un avantage clair, une touche personnelle, et un A/B test. Lancez 2 variantes et laissez les données trancher — l'email n'est pas mort, il attend juste que vous changiez la ligne d'arrivée.

Segmenter comme un pro : par intérêt, par timing, par comportement

La segmentation, c'est la collecte d'indices plutôt que de prier pour une ouverture miraculeuse. Plutôt que d'envoyer une newsletter universelle, créez des segments qui se parlent aux lecteurs: par centres d'intérêt, timing et comportement. On va passer du générique au chirurgical — plus de clics, moins de désinscriptions et une réputation d'expéditeur qui donne envie d'ouvrir.

Par intérêt: taguez dès l'inscription (ou au premier clic). Proposez des choix simples: «Mode», «Maison», «High-tech». Utilisez ces tags pour déclencher contenus personnalisés et objets pertinents. Micro-segments = meilleures conversions: un fan de running recevra une promo chaussures, pas l'offre meubles. Astuce pratique: un champ caché pour le dernier produit consulté accélère la personnalisation.

Par timing: envoyez selon le cycle d'achat et le fuseau horaire. Une campagne nouveau-acheteur, une séquence 3 jours après l'achat, un rappel 30 jours plus tard selon la durée de vie produit. Testez fenêtres d'envoi, limitez la fréquence par segment et activez les règles anti-pollution (pas deux promos la même semaine). Le bon timing multiplie l'impact sans ennuyer.

Par comportement: déclenchez sur ouverture, clic, visite produit ou panier abandonné. Scorez l'engagement pour adapter l'offre (cadeau pour chaud, contenu pour tiède). Automatisez les flows: réactivation, up-sell, cross-sell. Mesurez le ROI par segment et bouclez avec des tests. La segmentation intelligente transforme des listes plates en revenus réels.

Automatisations qui vendent pendant votre sommeil : bienvenue à bord, réactivation, panier abandonné

Imaginez des emails qui convertissent pendant que vous dormez — pas de magie, juste des automatisations bien ficelées. La base : trois séquences incontournables — bienvenue, réactivation, panier abandonné — chacune a son objectif clair et son timing. Pensez en entonnoir : accueillir, nourrir, relancer; si vous ecrivez comme un humain (et pas comme un bot), vous vendez sans forcer.

Pour la série bienvenue : envoyez un premier message 10–30 minutes après l inscription, un second 24–48h plus tard avec une preuve sociale, puis une troisième proposition d offre. Soignez l objet (curiosité + bénéfice), proposez une action simple et segmentez selon l origine du lead : acquisition organique, pub payante, ou lead magnet — chaque source mérite un message adapté.

Le panier abandonné : déclenchement instantané, rappel à 1h, puis 24h et 72h avec intensité croissante (photo produit, urgence, petit code promo). Pour la réactivation, testez une campagne courte à 3 messages : valeur, utilité, offre limitée. Besoin d un coup de pouce pour lancer ou tester vos scénarios ? Boostez votre compte mrpopular gratuitement et observez vos templates en action.

Mesurez le CA par séquence, pas seulement l ouverture : taux de conversion, revenu moyen par email, churn. A/B testez objets, CTA, heures d envoi — et tranchez vite sur ce qui marche. En bref : automatiser, personnaliser, optimiser. Configurez, surveillez 7 jours, iterez — et regardez votre boîte mail devenir votre meilleur vendeur nocturne.

Moins de blabla, plus de clarté : la structure d’un email qui convertit en 60 secondes

La plupart des emails sont bavards et flous. Votre lecteur ouvre, scanne et décide en 60 secondes. Pour gagner ce sprint, réduisez, clarifiez, dirigez. Pas de blabla : une promesse claire, un bénéfice immédiat, et un chemin visuel vers le clic.

Commencez par l'essentiel : Objet : court, spécifique, orienté bénéfice. Pré‑en‑tête : confirme l'objet. Accroche : première phrase qui répond à « qu'est‑ce que j'y gagne ? ». Preuve : une preuve sociale ou un chiffre. Offre : résumé en une ligne. CTA : verbe d'action unique, visible.

Écrivez en micro‑paragraphes — 1 idée = 1 phrase. Privilégiez le présent et les verbes d'action. Exemple micro‑structure : phrase d'accroche, une preuve, bénéfice concret, CTA clair. Ajoutez un PS : qui double le CTA ou propose une alternative (réduction, démo, témoignage). Les lecteurs zappent, le PS convertit.

Avant d'envoyer, relisez en mode vitesse : l'email se comprend‑il en 60 secondes ? Testez 3 variantes : objet, CTA, ouverture. Mesurez ouverture, clics, et surtout conversion. Et souvenez‑vous — l'email qui convertit n'est pas celui qui crie le plus fort, mais celui qui explique le plus vite pourquoi cliquer est irrésistible.

Stop aux métriques vanity : suivez la délivrabilité, les clics utiles et le revenu par abonné

Marre des tableaux de bord qui brillent mais n'engendrent rien ? On se focalise sur les opens et les listes gonflées parce que c'est facile à mesurer — mais ce n'est pas ce qui paie les factures. Concentrez-vous sur trois choses concrètes qui distinguent une campagne qui meuble l'inbox d'une campagne qui vend.

  • 🚀 Deliverabilité: vérifiez les taux de bounce, les plaintes et le placement en boîte principale — un abonnement qui n'arrive jamais n'achète pas.
  • 🔥 Clics utiles: mesurez les interactions qui mènent à une action (ajout au panier, lecture d'article, téléchargement), pas les clics insignifiants.
  • 💥 Revenu par abonné: calculez le CA attribuable par abonné sur 30/90 jours pour juger la vraie valeur de vos listes.

Pratique : segmentez par activité, envoyez des versions tests avec UTM, utilisez une seed list externe pour monitorer l'inbox placement et corrigez les envois qui performent mal. Automatisez le tracking des revenus par campagne et définissez des seuils d'alerte pour la délivrabilité.

Résultat : moins de vanité, plus de ROI. Commencez par une petite expérience : isolez les 10% d'engagés, envoyez une promotion ciblée, mesurez le revenu par abonné et répétez. Vos rapports vont enfin raconter une histoire utile — et vos chiffres, payer leurs cafés.

25 October 2025